C'est au cours d'une conférence de presse organisée le lundi 14 août 2017 au siège de l'ONU à New York que l'ambassadeur Anatolio Ndong Mba, représentant permanent de la Guinée équatoriale près de l'ONU a dénoncé ce qu'il décrit comme "un montage d'Amnesty International avec la complicité de certains opérateurs économiques français contre son pays" faisaint indirectement allusion au verdict du procès des ''biens mal acquis'' prononcé en juillet 2017 par la justice française à l'encontre de Teodorin Obiang, vice-président de la Guinée équatoriale.
Condamné à 3 années de prison, 30 millions d'euros d'amende et la confiscation de ses biens évalués à plus de 150 millions d'euros.
D'après Anatolio Ndong Mba ''le tribunal correctionnel français n'est pas qualifié pour prononcer un tel jugement notamment à l'encontre du vice-président d'un Etat souverain''. Il appelle par ailleurs la communauté internationale à être vigilante quant aux éventuelles tournures que pourrait prendre ''cette tentative de déstabilisation'' du régime en place en Guinée équatoriale.
Le 16 août 2017