Catherine Samba-Panza aura échoué pitoyablement et de manière la plus lamentable à la tête de la transition.
Il faut néanmoins lui reconnaitre une très grande qualité : Enrichissement avec ses proches de la manière la plus scandaleuse en deux années. Chapeau l’artiste ! Cela relève du crime économique.
Mais aussi avoir évolué en cadence avec le paraitre.
Eh oui ! Au paroxysme de sa gloire elle arborait la célèbre coupe de cheveux "Sommet de l’Everest".
L’allure était au rendez-vous avec une certaine mode qui se démode.
Puis est venu le temps où le remord commençait son goutte à goutte dans les veines, mal invisible qui s’accroche à vous, on commence à prendre conscience, mais il est trop tard et il vous tient par le cou.
Ce remord devint cette misère qui entrave l’ensemble des pas. La lourdeur de sa propre ombre, est permanente. Encre indélébile qui marque à toujours laissant ainsi place à la coupe de cheveux "salade frisée".
L’allure laissant place à la simple banalité.
Ensuite l’on constata que la richesse ne rend pas plus heureux. Que le pouvoir qui n’a plus que le nom en raison des malheurs engendrés sur son propre peuple, on a tissé soit même la corde pour se pendre.
Les nuages noirs survolent le ciel. On se transforme en oiseau mazouté ne pouvant même plus ouvrir les ailes en raison de l’océan jetant ses eaux regorgeant de pétrole même dans un pays enclavé.
Dépotoir de l’humain, quelle inconscience folle ! laissant place à la coupe de cheveux "rase-motte"
Catherine Samba-Panza le 15 janvier 2016 Bangui Palais de la Renaissance
Vraiment ! Franchement !
Comment peut-on laisser rendre public une telle photo, avec le visage ravagé, épuisé et une flûte de champagne ? Sans doute quelques bouteilles en réserve....
Avec tous ces conseillers et la multitude de décrets muets, le service communication ne met pas en valeur la présidente de la transition de l'Etat du Centrafrique ! Etat ? Pour ce qu'il en reste...
Oh ! Je suis vraiment désolée. Je n’ai que de l’eau plate à vous offrir !
Le 16 janvier 2016