Des dizaines de civils du camp de personnes déplacées d’Alindao ont été massacrées après que les casques bleus chargés de les protéger n’ont rien fait pour repousser les assaillants armés", a déclaré Joanne Mariner, conseillère principale en matière de réaction aux crises à Amnesty International.
Nombre de personnes ayant vécu dans le camp ont indiqué à Amnesty International que les casques bleus mauritaniens, stationnés depuis mai, ne contrôlaient pas véritablement la zone et n’empêchaient pas l’entrée d’armes ni de combattants armés.