1. Inviter les autorités politiques et administratives, le corps diplomatique, les représentants des institutions nationales et internationales, les hommes des media et la population centrafricaine, à une conférence de presse qui se tiendra le lundi 26 novembre à 9 h à l’archevêché de Bangui, pour restituer la vérité sur les crimes inacceptables et odieux perpétrés contre les populations civiles.
2. Demander à "l’Eglise Famille de Dieu" en Centrafrique, aux hommes et femmes de bonne volonté, par solidarité et dans le respect de la mémoire des victimes, de s’abstenir des festivités du 1er décembre 2018, en signe de deuil.
3. Décréter spécifiquement le dimanche 2 décembre 2018 comme "journée de lamentations et de prière" en mémoire des victimes, dans tous les diocèses. Par conséquent, les quêtes impérées de ce dimanche, seront destinées aux survivants de ces massacres.
Que la Vierge Marie, Notre Dame des douleurs, intercède pour la paix dans notre pays.